EN BALADE AU SAUCONY RUNNING CLUB !

Rien de plus chiant qu’une sortie longue pendant la prépa marathon. Voici comment on fait chez nous pour éviter de trop s’emmerder.

1- Réveil à 7h le dimanche matin.

Se lever tôt un dimanche pour une sortie longue ça veut dire ne pas sortir la veille sinon c’est mort, on reste au lit. Une fois le saturday night baisé, vous n’aurez aucune raison pour ne pas vous lever le dimanche matin et une bonne gnaque pour avaler les kilomètres histoire de ne pas avoir sacrifié une bonne fiesta pour rien.

2- Partir avec des collègues.

Le point précédent peut vite voler en éclat si on est seul, la tentation de rester au lit est très forte. Donner rendez-vous à des potes permet de créer une obligation, si on y va pas il va falloir trouver une excuse à la con et on va passer pour « une fiotte » pour reprendre une expression chère à Serge Aurier. Dimanche dernier donc, Laurent, Nicolas et Lionel se donnent rendez-vous à 8h pour une vingtaine de kilomètres et chacun est content de trouver le soutien des autres. L’union fait la force.

3- Se fixer un objectif

Faire 25 bornes autour d’une piste d’athlé est probablement une des pires idées que peut avoir un runner. Programmez-vous un parcours avec un but, un aller et un retour différents si possible, ça passera mieux. Nos trois lève-tot ont eux opté pour la course de 5km organisée par le Saucony Running Club. On y va en courant depuis Bastille ou République, on fait la course et on rentre en courant, tranquillou.

4- Se faire plaisir.

Trouver un moyen de se faire plaisir pendant la sortie, comme une sorte de récompense. Un parcours que vous adorez, courir avec la meuf ou le mec que vous avez envie de pécho en secret, voici quelques pistes. Dimanche dernier, les gars se sont fait plaiz en découvrant gâce au Saucony Running Club un cadre parfait pour courir, le Jardin d’Acclimatation. La marque cainri n’a pas fait les choses à moitié, pour ceux qui se sont chauffés en ce dimanche glacial, le Jardin d’Acclimatation est entièrement privatisé. Accueil à la cool, dossards et puces chronométriques, possibilité de tester la très bonne Triumph Iso (en test ici) et départ sous une belle arche de départ, comme les vrais. Sur les 4 tours de 1200m, on lâche un peu les jambes. Laurent, en forme olympique chope la 3ème place de la course avec un chrono un peu en dessous de 16min, juste derrière les deux athlètes Saucony. Nicolas aura la gentillesse d’attendre Lionel, en reprise, sur le parcours avant de le distancer sur les derniers mètres. Ils se classent 7 et 8, avec des chronos respectifs de 19′ et 19’12. On débriefe de la course avec l’équipe du Saucony Running Club et les quelques concurrents autour d’un excellent verre d’eau et d’une demi-banane (attention à ne pas trop se péter le bide, la séance n’est pas terminée). Bon c’est pas le tout mais il faut rentrer maintenant.

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5- Ne pas en faire trop.

Les mollets sont un peu durs après la course, Lionel de retour de blessure ne fait pas le fier aux côtés de ces deux équipiers du jour qui visent un sub 3 sur le marathon de Paris : « A tout moment je saute dans le métro les gars ! ». Finalement l’avenue des Champs Elysées se monte sans trop de problèmes et puis ça descend après. Paris le dimanche matin, vidée des relous, c’est agréable. Bon finalement, après 19 bornes, Fracture dégaine le pass navigo qu’il avait soigneusement planqué dans son short, malin comme un singe. Il est presque cuit et a un semi-marathon à se coltiner la semaine prochaine mais cette bonne sortie l’a rassuré sur ses capacités à aller au bout même avec peu de foncier. Laurent et Nico pousseront jusqu’à 25K, sereins, ils risquent d’envoyer comme il faut sur le semi.

Toutes les infos sur le Saucony Running Club sont par ici, sessions d’entrainement en soirées et deux courses de 5K en mars et avril.

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