AH, LE GRAND PARIS…

Le « grand Paris » est dans toutes les bouches cette année.

Prolongement des lignes 11 et 14, candidature pour les Jeux Olympiques 2024, album du poète Médine, et projet à long terme du Paris Saint-Germain. Sur ce dernier point, l’adjectif  » grand  » a disparu depuis la débâcle à Barcelone en Ligue des Champions. Pour les autres, ils sont plus que jamais d’actualité avec cette Grande Course du grand Paris !
Tellement grande qu’ils ont décidé de nous rajouter 1,8km de plus quelques jours avant le départ. Autant vous dire que 2KM de plus et l’objectif de Kevin passait de  » moins de 50  » à  » finisher « . Une première.
Au rang des premières, la possibilité de retirer son dossard le matin de la course au prix d’un grec frites + boisson. Thibaud et Nicolas, Picsou de service, ne sont pas tombés dans le panneau…puis l’ont regretté avec un temps d’attente équivalent à leur temps de course. Pour Kevin, le retrait se fait sans encombres sur le parvis de l’Hôtel de Ville avant la course. Plus difficile, le passage obligé aux WC. Face à une queue totalement inédite, la team Jolie Foulée décide de braver l’interdit et s’en va se vider sur les quais. Délestés d’un poids, nous nous rendons d’un seul homme dans le SAS -45.

Marais, République, Canal Saint-Martin, Canal de l’Ourcq et finish dans le Stade de France. Parcours inédit et hyper agréable avec de l’eau tout le long. Seul point noir : un seul et unique ravitaillement au KM4 avec, pour innovation, des bulles d’eau comestibles pour remplacer les gobelets jetés sur le bord de la route. Un dépucelage difficile pour Kevin qui recrache les 3/4 de son contenant. À deux doigts de boire l’eau du Canal au KM9, il regrette profondément la connerie faite quelques KMs plus tôt. Après un interminable passage dans les coursives du Stade de France, les fauves entrent sur la piste sous une foule en délire digne de l’arrivée de Joan Benoit en 1984.

Au bout de la piste, une autre première avec la réception d’une médaille en bois. Pourquoi pas après tout, vu ce qu’en font 98% des coureurs. Direction le ravitaillement pour fêter ça, puis nous nous dirigeons vers les camions pour récupérer nos sacs. Et là, le bordel. Rien n’est rangé, les coureurs montrent leurs tickets dans tous les sens et les bénévoles font tout leur possible pour tirer les bons numéros ..bref on se croirait dans un loto de campagne.

Retour sur Paris en RER D et direction Les Fabricants pour se refaire une santé. Lessivés.

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