FREE TO RUN relate l’histoire de la course à pied de Central Park, poumon vert de Manhattan et terrain de chasse préféré de Fred Lebow (fondateur du marathon de NY) jusqu’à la garçonnière de Noël Tamini (créateur du magazine Spiridon) dans les Alpes suisses. Pendant 1h39 Pierre Morath nous fait voyager entre images d’archives et les souvenirs de Kathrine Switzer (première go à courir un marathon) ou ceux des membres fondateurs des New York Road Runners. Le film est extrêmement bien fait, drôle, émouvant, motivant. Il faut l’admettre, on a tous chialé en matant FREE TO RUN.
Lionel Fracture a pu vérifier que la moustache était un accessoire indispensable à tout coureur qui se respecte en visionnant l’histoire de Steve Prefontaine, athlète de génie et syndicaliste sportif.
Idris était autant en émoi devant les splits shorts et les débardeurs multicolores de l’époque que devant la foulée gracieuse de Frank Shorter.
Fraîchement marathonienne et franchement dégoûtée de la course à pied, Chantal, qui salue toutefois la beauté du film, est bien d’accord « les gens qui courent sont des fous ». En revanche, elle serait d’avis d’interdire les compétitions de course à pied de plus de 800m mais pour les femmes (comme à l’époque) ET les hommes, qu’on n’en parle plus, DÉFINITIVEMENT !
Les critiques sur FREE TO RUN sont unanimes chez Jolie Foulée :
« Plus émouvant que Titanic » Idris
« De la zouze sportive et rebelle, on se régale » Chantal Goyave
« Enfin un film qui nous montre le vrai visage de Jean-Pierre RUNRUN » Anonyme
« Pète sa mère ! » Lionel Fracture
Le film Free to run est depuis mercredi dans certaines salles obscures dans les villes suivantes :
Erstein, Grenoble, La Valette-du-Var, Lorgues, Lyon, Marseille, Mulhouse, Paris et Périgueux.