#SEGREENRUNNERS – BORNER PLUS POUR BORNER PLUS

Dans le cadre de notre partenariat avec Schneider Electric – #SEGREENRUNNERS pour la préparation du marathon de Paris, nous avons été challengés à mieux manger au mois de janvier. Mission accomplie grâce au coach Nibrun et ses nibarres.
Pour le mois de février, place à l’économie d’énergie et à l’augmentation de l’activité quotidienne.
Autant se mettre en cuisine a donné quelques sueurs froides pour certains, autant celui là c’est facile donc on se bouge le cul.
Février, comme nous, vous préparez probablement le semi ou le marathon de Paris. Préparation = augmentation naturelle du kilométrage, sauf si vous vous préparez comme Cédric.
Ce qu’on vous demande maintenant, c’est de partager vos sorties avec #SEGREENRUNNERS. Ça ne mange pas de pain et ça fait pousser des arbres, c’est l’engagement de
Schneider Electric pour chaque partage effectué.

Autre option, l’économie d’énergie. Les agents de la RATP ont été visionnaires et nous ont fait réaliser une chose : on peut très souvent se passer du métro. Depuis des années, une bonne majorité de l’équipe se déplace presque exclusivement à vélo dans Paris. On vous explique pourquoi.

3 raisons qui font que vous ne prenez plus le métro.
Jean : le Corona virus / c’est 3 fois plus rapide sur le métro / j’aime arriver mouillé au bureau.
Lionel : La ligne 13 / le temps c’est de l’argent / je rajoute des bornes, des bornes, des bornes.
Thibaud : Les métros ne crèvent jamais. Les temps de transport c’est comme le sexe, plus court plus c’est bon. Entre payer un pass Navigo à l’année, et se racheter un vélo à chaque panne/vol, je suis presque gagnant.
Guillaume : Je préfère être sur mon biclou qu’être entassé dans la rame de la 4 / Bien plus rapide que les transports / Un allié pour la santé !

Vous faîtes quoi grâce au temps que vous gagnez ?
Jean : Je le gâche à lire les torches culs de Jolie Foulée.
Lionel : Je réécris les interview de Kevin Calderan.
Thibaud : Je perds mon temps à courir.
Guillaume : Je passe plus de temps chez Distance.

Votre meilleur souvenir vélo-taff
Jean : Il y a deux ans, alors que Paris était » paralysée » à cause de 5 centimètres de neige, je suis parti au bureau à vélo en pignon fixe. Première descente et première chute. Je suis tombé 5 fois pour arriver jusqu’au bureau qui était fermé car personne ne s’était pointé en raison des intempéries.
Aussi, ne pas se souvenir d’être rentré à vélo et laisser les clés sur le cadenas.
Bonus : Se faire voler son vélo sous ses yeux.
Lionel : Un matin j’ai croisé Saint-Bernard, il était beau.
Thibaud : Rentrer ivre de soirée avec ma meuf qui grille tous les feux rouges et qui ne m’attend pas. J’ai fini le trajet seul.
Guillaume : Une ride un soir d’été, quand tout le monde est en vacances. Rien ne vaut un Paris désert.

Ce que vous pensez de ceux qui lancent Strava pour aller au taff
Jean : J’ai fait ça pendant un an pour voir combien de kilomètres je faisais sur l’année. Une simple multiplication et c’était réglé… C’est un supplice pour les gens qui vous suivent sur Strava, au même titre que ceux qui lancent leur montre pour un échauffement avant une course. Donc continuez si vous aimez faire chier les autres.
Lionel : C’est la pire race. Jean fait partie de ces gens qui vous rendent allergique au terme » vélotaff ».
Thibaud : L’enfer c’est les autres. J’ai passé un an à écrire » STOP » en commentaires sur les sorties vélotaff de Jean Pourri.
Guillaume : Ces gens sont des forceurs, rien d’autre !

Ce que vous pensez des « écolos » en trottinette électrique sur les pistes cyclables.
Jean : La trottinette électrique est à l’écologie ce que les Adidas Runners sont au Running.
Lionel : C’est un peu la représentation du futur apocalyptique avec des espéces de jeunes métrosexuels qui foncent sur leurs trottinettes. Je les invite à utiliser un vrai mode de transport propre comme le vélo mais ça oblige à se sortir les doigts du fion, c’est pas donné à tout le monde.
Thibaud : Je leur souhaite de finir sous une voiture électrique.
Guillaume : Il faudrait revoir la définition d’écolo.

Dans quelle mesure pensez-vous que vos kilomètres vous maintiennent en forme ou vous apportent dans une préparation marathon ?
Jean : On ne parle que de 70 kilomètres par semaine donc pas certain que ce soit significatif mais après une grosse séance le matin c’est assez complémentaire pour mieux récupérer, ou alors le soir en guise de pré-échauffement.
Lionel : Je pense que c’est négligeable mais aussi plus sain pour le moral que de se taper les gens aigris ou les clodos dans le métro. Le fait de tourner les jambes pendant une vingtaine de minutes après les séances matinales c’est une petite recup’ sympa. Ça se prend.
Thibaud : Ça me détend les jambes les lendemains de grosse séances.
Guillaume : Toujours agréable de faire tourner les jambes mais pas sûr que ça ait un réel impact sur la prépa marathon.

Avez-vous déjà parcouru ce trajet en courant ou seriez-vous prêt à le faire pour augmenter votre volume de course ?
Jean : Jamais de la vie, c’est déjà bien assez chiant de courir avec un camelback alors avec un sac où il y a mes affaires et un ordi ? En plus je n’ai pas de douche au bureau…
Lionel : Ouais j’avais commencé à le faire en préparant le marathon de Berlin avant de me blesser. Ça rajoute du volume et puis ça n’empiète pas trop sur la vie de couple car c’est quasiment inclus dans mon trajet de retour du taff. Par contre c’est faisable qu’en fin de journée car après on est dégueulasse. C’est un peu l’extrême dans la recherche de bornes et dans l’optimisation du temps mais c’est pas con.
Thibaud : Ce n’est pas dans le plan de mon coach Nibrun. Si ce n’est pas dans le plan, je ne le fais pas.
Guillaume : Je ne pense que ça augmente réellement mon volume d’entraînement vu je suis à 2km. Cela dit il est certain que cela peut être bénéfique et ça fait gagner du temps.

Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui souhaiterait arrêter la voiture ou les transports en commun ?
Jean : Déjà, regarder le temps de trajet, ensuite voir si c’est compatible avec son mode de vie, mais surtout qu’il/elle comprenne que le vélo rime avec pluie, vent froid et chaleur donc il faut savoir s’adapter si tu ne veux arriver plus mouillé que Michelle.
Lionel : Checker sur Google Maps le temps qu’il peut économiser pour la motivation et bien s’équiper pour le confort.
Thibaud : Once You Go Bike You Never Go Back
Guillaume : Une bonne machine, adapté à la ville et une selle confortable. Puis éviter de trop se prendre la tête avec piétons…

Rappel : pour chaque contenu posté avec le hashtag #SEGreenRunners, 1 arbre est planté par Schneider Electric alors vous pouvez arroser les storys de vous à vélo !

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